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11 différences entre le diabète de type 1 et 2 (+ Tableau Comparatif)

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Le diabète est une pathologie qui touche de nombreuses personnes en France. Les principaux types de diabète sont le diabète de type 1, appelé diabète insulinodépendant et le diabète de type 2, appelé diabète non insulinodépendant. Le diabète est défini comme étant un ensemble de désordres métaboliques caractérisés par une hyperglycémie chronique résultant d'un déficit absolu ou relatif en insuline et/ou d'une résistance tissulaire à l'insuline.

Cela signifie que le corps n'arrive plus à réguler le taux de sucre dans le sang car l'insuline, l'hormone qui régule ce taux, ne fonctionne plus correctement.

Quelles différences y a-t-il entre le diabète de type 1 et le diabète de type 2 ? Quel est le type de diabète le plus grave ? Qui est touché par ces diabètes ? Dans cet article, nous répondrons à toutes ces questions en découvrant les 11 différences entre le diabète de type 1 et le diabète de type 2.

Quelles différences entre les diabètes de type 1 et 2 ?

Les différences principales entre le diabète de type 1 et le diabète de type 2 reposent sur la fréquence, la façon dont est sécrétée l'insuline, les antécédents familiaux (prédisposition génétique), l'hygiène de vie, le type de personnes touchées, les facteurs de risque, les symptômes, les examens, les traitements, les complications mais aussi l'alimentation. Onze différences sur lesquelles nous revenons plus en détail.

Différence n° 1 : la fréquence

La prévalence des cas concernant les deux types de diabète est un élément qui les différencie :

  • Le diabète de type 1 représente 10 à 20 % de l'ensemble des diabètes.
  • Le diabète de type 2, quant à lui, représente environ 90 % des cas de diabète en France.

Le diabète de type 2 est en forte progression à travers le monde, notamment à cause de notre alimentation trop riche en sucre, en gras et en aliments ultra-transformés.

Différence n° 2 : la sécrétion de l'insuline

Y a-t-il des différences au niveau de la sécrétion d'insuline dans les deux types de diabète ? C'est bien le cas et nous vous expliquons tout.

Le diabète de type 1, aussi appelé diabète insulinodépendant (DID), est caractérisé par une carence insulinique absolue. Les cellules bêta du pancréas ne sécrètent plus d'insuline.

L'insuline est effondrée et non-stimulable. Ce diabète apparaît suite à la destruction des cellules bêta des îlots de Langerhans par des auto-anticorps. Ces auto-anticorps peuvent apparaître après une agression par un agent extérieur tel qu'un virus.

C'est pourquoi on dit que le diabète de type 1 est une maladie auto-immune. Les cellules servant à sécréter l'insuline sont attaquées et détruites par le système immunitaire : de ce fait, l'organisme ne peut plus réguler le taux de sucre dans le sang. Les auto-anticorps vont alors détruire les cellules du pancréas.

Le diabète de type 2, aussi appelé diabète non insulinodépendant (DNID) est caractérisé par une sécrétion d'insuline qui existe mais qui est inadaptée aux besoins du métabolisme.

L'insuline peut être inadaptée ou inefficace, notamment par la diminution de la sensibilité des tissus à son action. Dans ce diabète, les cellules ne fonctionnent plus correctement et n'absorbent plus le sucre contenu dans le sang. Le sucre reste alors dans celui-ci et son taux ne diminue pas. Il est dû à une mauvaise utilisation de l'insuline par les cellules.

Zoom sur l'insuline
L'insuline est une hormone protéique sécrétée par les cellules bêta des îlots de Langerhans dans le pancréas. Elle joue un rôle sur le métabolisme des protéines, des glucides et des lipides. Elle va notamment favoriser l'absorption du glucose contenu dans le sang par les cellules adipeuses, les cellules du foie et les cellules des muscles.

Différence n° 3 : la prédisposition génétique

Le diabète de type 2 est associé à une prédisposition génétique conséquente. Cela signifie donc que les antécédents familiaux entrent en jeu dans le diabète de type 2, ce qui n'est pas le cas dans le diabète de type 1.

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Différence n° 4 : l'hygiène de vie

Dans le diabète de type 2, l'hygiène de vie a une place importante. L'apparition de ce diabète peut être liée à des mauvaises habitudes telles qu'une mauvaise alimentation et un manque d'activité physique. Dans la prise en charge de ce diabète, une modification des habitudes de vie va être mise en place.

Les causes de ce diabète ne se résument pas uniquement à une mauvaise hygiène de vie mais elle y contribue. Il sera donc conseillé de modifier l'alimentation et de pratiquer une activité sportive. Le diabète non insulinodépendant sera aggravé par une mauvaise hygiène de vie, mais il n'en découle pas.

Le sucre dans l'organisme
La glycémie est le taux de glucose, c'est-à-dire de sucre, présent dans le sang. Ce sucre est indispensable au bon fonctionnement de l'organisme et il sert à la production d'énergie. Il est transformé en glycogène pour fournir de l'énergie au corps tout au long de la journée.

Différence n° 5 : les personnes touchées

Généralement, le diabète insulinodépendant survient chez un patient jeune, aux alentours de 10 à 13 ans, présentant un épisode infectieux. Il touche donc majoritairement les enfants, les adolescents et les jeunes adultes. D'ailleurs, le diabète de type 1 est appelé diabète juvénile.

Le patient atteint de diabète non insulinodépendant est généralement en surpoids. L'âge moyen de dépistage se situe autour des 40 ans. Le diabète de type 2 est appelé diabète de la personne âgée.

Différence n° 6 : les causes et les facteurs de risque

Les causes du diabète sont encore assez mal connues mais on peut considérer deux types de facteurs de risque étiologiques :

  1. Les facteurs intrinsèques, notamment génétiques, qui sont à prendre en compte dans les deux types de diabète même si les antécédents familiaux sont principalement en jeu dans le type 2.

  2. Les facteurs extrinsèques. Pour le diabète de type 1, l'intervention de virus est incriminée. Il s'agit notamment des virus des oreillons, de la rubéole et certains virus respiratoires saisonniers. Pour le diabète de type 2, les facteurs extrinsèques semblent primordiaux (mode de vie, habitudes alimentaires, stress, surpoids...).

Les causes du diabète de type 1 ne sont pas liées au mode de vie du patient. Des recherches sont en cours sur ce sujet. Le diabète de type 2, quant à lui, est lié à l'évolution de notre mode de vie, à une alimentation trop abondante et trop riche, à la sédentarité et au manque d'activité.

Le diabète de type 3
On parle également de "diabète de type 3" qui correspond à un ensemble de diabètes moins courants tels que le diabète gestationnel, le diabète dû à la destruction des cellules pancréatiques ou encore le diabète MOBY (Maturity Onset Diabetes of the Young) qui est un diabète du jeune qui apparaît tardivement.

Différence n° 7 : les symptômes

Le diabète de type 1 et le diabète de type 2 ont-ils les mêmes symptômes ? Les signes cliniques des deux formes de diabète sont assez similaires. Ils sont dominés par un syndrome polyuro-polydipsique et une asthénie :

  • La polyurie est un terme médical pour désigner une augmentation de l'élimination de l'urine. La polydispsie quant à elle est une augmentation de la sensation de soif. Cette soif intense persiste même si la personne souffrante boit de grande quantité d'eau. C'est le résultat d'une déshydratation causée par la polyurie. Ces deux symptômes sont également présents en cas de diabète insipide.
  • L'asthénie est définie comme une fatigue qui subsiste même après le repos. Elle correspond à une mauvaise utilisation des glucides par l'organisme. Pour rappel, les glucides sont le carburant de notre organisme.

La défaillance du métabolisme des glucides est également à la base d'un amaigrissement rapide et d'une tendance à la polyphagie, c'est-à-dire un besoin excessif de manger et une sensation de satiété qui n'est jamais atteinte.

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Le diabète de type 2 peut rester longtemps asymptomatique. C'est lorsque la glycémie atteint 2 grammes par litre que les premiers symptômes apparaissent.

Dans ce diabète, on observe les signes des complications chroniques telles que des infections urinaires à répétition, des rétinopathies, des cardiopathies ou encore une insuffisance rénale.

Différence n° 8 : les dosages de l'insuline et du peptide C

La majorité des examens complémentaires pour confirmer le diagnostic sont communs aux deux types de diabète. Plusieurs dosages seront faits tels que la glycémie, la glycosurie, la cétonurie, le dosage de l'insuline et du peptide C, le dosage de l'hémoglobine glycosylée et des dosages d'anticorps.

Le dosage de la glycémie est l'examen qui affirme le diagnostic. Le diabète est affirmé si la glycémie à jeun est supérieure à 1,26g/L. Si la glycémie à jeun est entre 1,1g/L et 1,26g/L, on peut supposer une intolérance au glucose.

Ce dosage peut se faire en prélevant une goutte de sang capillaire au bout du doigt en utilisant des bandelettes à la gluco-réductase. La lecture des bandelettes se fait avec un appareil.

Les résultats doivent être confirmés par un prélèvement sanguin veineux. Un test urinaire permet de détecter une glycosurie, c'est-à-dire la présence de sucre dans les urines, et une éventuelle cétonurie, la présence de cétone dans les urines.

Les dosages de l'insuline et du peptide C permettent de faire la différence entre le diabète insulinodépendant et le diabète non insulino-dépendant. Une insulinémie, taux d'insuline dans le sang, basse ou nulle et un taux de peptide C bas correspond à un diabète insulinodépendant.

Un taux de peptide C avec des variations importantes met en évidence un diabète non insulinodépendant.

Le dosage de l'hémoglobine glycosylée témoigne de l'évolution des valeurs glycémiques durant les six dernières semaines.

D'autres dosages, utiles pour le dépistage précoce du diabète de type 1, sont les marqueurs de l'inflammation et de la destruction progressive des îlots pancréatiques : les anticorps anti-îlots de Langerhans et les autoanticorps anti-insuline, par exemple.

Le peptide C, qu'est-ce que c'est ?
Le peptide C est un élément chimique de la famille des protéines. Il a un rôle extrêmement important dans l'organisme puisque c'est lui qui assure le transport de l'insuline dans les cellules pancréatiques.

Différence n° 9 : les traitements

Le traitement du diabète comporte trois volets : le traitement hygiéno-diététique, le traitement antidiabétique oral et le traitement par insuline.

Un régime alimentaire adapté est indiqué dans tous les cas de diabète. Il a pour but d'assurer un apport et un équilibre nutritionnel les plus proches de la normale tout en maintenant la glycémie a des valeurs normales et en évitant les accidents tels qu'un amaigrissement, une cétose ou une hypoglycémie.

Un autre objectif du régime doit être de prévenir les complications cardiovasculaires.

En plus d'une alimentation équilibrée, un exercice physique adapté est conseillé. L'activité permet de diminuer les besoins en insuline dans le diabète insulinodépendant et il est utile dans le diabète non insulinodépendant puisque les patients sont généralement en surpoids et sédentaires.

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Le diabète de type 1 requiert un traitement à l'insuline dès qu'il est diagnostiqué, c'est pourquoi il s'appelle diabète insulinodépendant. Ces injections d'insuline quotidienne permettent de remplacer la sécrétion d'insuline par le pancréas.

Les injections se font en fonction du taux de sucre dans le sang et le patient reporte ces valeurs dans un "carnet de diabétique". Il existe plusieurs types d'insulines disponibles :

  • Les insulines rapides qui sont efficaces en moins de 30 minutes avec une durée d'action de 6 à 8 heures ;

  • Les insulines intermédiaires qui sont efficaces en 2 à 3 heures pour une durée de 11 à 18 heures ;

  • Les insulines lentes et ultra-lentes qui sont efficaces en 2 à 3 heures pour une durée d'action de 22 à 30 heures ;

  • Les insulines mixtes qui sont un mélange d'insuline rapide et d'insuline intermédiaire dans différentes proportions.

Pour le diabète de type 2, des mesures hygiéno-diététiques seront mises en place dans un premier temps. Elles peuvent suffire ou nécessité l'ajout d'antidiabétiques oraux.

Les antidiabétiques oraux sont réservés aux diabétiques de type 2 déjà traités par un régime dans le cas où celui-ci ne suffit pas à équilibrer la glycémie. Ce traitement est basé sur deux familles de médicaments : les dérivés de sulfonylurée et les biguanides.

Insuline en stylo ou pompe
L'insuline peut avoir un conditionnement particulier appelé "stylo à insuline". Il s'agit d'une seringue spéciale, conçue pour une utilisation facile, sur laquelle on peut choisir le nombre d'unité voulu à l'aide d'un curseur et l'injection est commandée par une simple pression sur un bouton. Une autre possibilité d'administration est la pompe à insuline, à l'hôpital ou à la maison, qui permet d'administrer des doses contrôlées et continues de produit. L'utilisation des pompes à domicile est de plus en plus fréquente.

Différence n° 10 : l'alimentation

Dans le diabète de type 2, l'alimentation a une place importante. L'apparition de ce diabète est souvent liée à de mauvaises habitudes alimentaires et une mauvaise hygiène de vie. C'est aussi la première chose qui sera mise en place lors du diagnostic : une modification de l'alimentation.

Le diabète de type 2 est d'ailleurs appelé "diabète gras" ce qui indique bien que son apparition est corrélée à une mauvaise alimentation. Certains aliments seront à éviter et d'autres à contrôler comme les fruits ou les fromages. Un rééquilibrage alimentaire peut être nécessaire afin de perdre du poids et améliorer son état de santé global.

Dans le diabète de type 1, de bonnes habitudes alimentaires sont à mettre en place pour maintenir un bon fonctionnement de l'organisme mais elles auront peu d'influence sur la pathologie et son évolution.

Différence n° 11 : l'évolution et les complications

On se demande souvent quel est le diabète le plus grave ? L'évolution spontanée du diabète, qu'il soit de type 1 ou 2, se fait avec l'apparition de complications et dans les pires des cas, le coma et la mort.

Le diabète de type 1 évolue rapidement alors que le diabète de type 2 a une évolution plus lente avec des complications dégénératives et des insuffisances multiviscérales. Dans le diabète de type 1, l'acidocétose est une complication très fréquente pouvant mener au coma.

Le diabète non insulinodépendant entraîne diverses complications chroniques telles que des infections urinaires à répétition, des rétinopathies, des cardiopathies ou encore une insuffisance rénale.

On trouve également des complications aiguës pouvant aller jusqu'au coma également. Une des évolutions possibles du type 2 est l'insulino-requérance. Il s'agit d'un cas où l'association d'un régime diététique et d'un traitement par des hypoglycémiants oraux ne suffit pas à rétablir l'équilibre du diabète. L'administration de l'insuline devient alors nécessaire.

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Tableau comparatif des différences entre le diabète de type 1 et le diabète de type 2

Pour vous aider à y voir plus clair, retrouvez toutes les différences dans le tableau suivant :

Différences

Diabète de type 1

Diabète de type 2

Fréquence

10 à 20 %

90%

Antécédents familiaux

Pas de lien avec les antécédents familiaux

Entrent fortement en jeu

Hygiène de vie

Pas de lien avec l'hygiène de vie

Apparition liée au mode de vie

Personnes touchées

Jeunes (enfants et adolescents)

Autour de 40 ans

Causes

Infections (virus notamment)

Génétique et mauvaise hygiène de vie

Symptômes

Polyurie, polydipsie, asthénie

Polyurie, polydipsie, asthénie

+ symptômes des complications

Examens complémentaires

Dosage de la glycémie

Dosage de l'insuline et du peptide C

Test urinaire

+ recherche d'anticorps et auto-anticorps

Dosage de la glycémie

Dosage de l'insuline et du peptide C

Test urinaire

Traitement

Traitement par l'insuline

Traitement par l'alimentation, l'hygiène de vie

Traitement par anti-diabétiques oraux

Traitement par insuline si les deux premiers ne fonctionnent pas

Sécrétion de l'insuline

Les cellules bêta du pancréas ne sécrètent plus d'insuline

Les cellules bêta du pancréas sécrètent normalement de l'insuline mais il y a une résistance tissulaire à l'insuline

Évolution

Évolution rapide

Acidocétose pouvant mener au coma

Évolution lente

Complications dégénératives et insuffisances multiviscérales

Alimentation

Pas de lien avec l'alimentation

L'alimentation fait partie de l'apparition et du traitement de la pathologie

Comment surveiller les deux types de diabète ?

Dans les deux types de diabètes, une surveillance périodique est indispensable. Une surveillance trimestrielle permet de contrôler le poids (qui doit être stable), l'absence de malaise hypoglycémique, les glycémies, l'absence de glycosurie et l'absence de complications (si le carnet est bien rempli).

L'examen doit toujours comprendre le contrôle des pieds. En effet, le "pied diabétique" est une particularité importante. Il est recommandé que le diabétique soit suivi par un pédicure-podologue, qu'il ait des chaussures adaptées et qu'il ne marche jamais pieds nus afin d'éviter les plaies.

Une surveillance annuelle permet quant à elle, un examen clinique complet avec recherche des complications dégénératives. Il s'agit par exemple d'examens ophtalmiques, stomatologiques, rénaux ou encore cardiaques.

Se faire accompagner en cas de symptômes
Si vous observez certains symptômes décrits plus haut ou que vous vous questionnez sur le diabète, n'hésitez pas à prendre rendez-vous avec votre médecin traitant. Pour obtenir des conseils sur votre façon de manger en cas de diabète, une diététicienne-nutritionniste pourra vous proposer une alimentation adaptée à vos besoins.
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