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Syndrome de Peter Pan : 9 Signes pour le reconnaître (+ Solutions)

Lucie M

Le syndrome de Peter Pan, qui tire son nom du célèbre personnage de fiction imaginé par J.M Barrie, est caractérisé par un refus de grandir. Comme le héros de Disney, les personnes touchées par ce trouble, ne veulent tout simplement pas franchir le pas vers le monde des adultes.

Vous avez peur de prendre vos responsabilités, vous procrastinez, vous êtes d’une grande insouciance et votre entourage vous dit régulièrement que vous êtes immature ? Et si vous étiez atteint du complexe de Peter Pan ? Vous trouverez ici toutes ses caractéristiques, ses causes, mais également les pistes pour vous sortir de ce trouble psychologique et cheminer vers le monde adulte.

Qu’est-ce que la maladie de Peter Pan ? (Définition)

Le syndrome de Peter Pan (SPP) est un ensemble de signes et de caractéristiques principalement axés sur le refus d’entrer dans le monde adulte. Les personnes qui en souffrent sont par définition immatures puisqu’elles préfèrent rester dans l’univers de l’enfance.

Si le SPP concerne avant tout les hommes, certaines femmes sont également touchées par cette phobie de grandir. Chez elles, on parle alors et surtout du syndrome de Wendy. C’est le psychanalyste Dan Kiley qui a décrit ce complexe pour la première fois. La professeure Humbelina Robles Ortega, qui a dirigé une étude à l’université de Grenade en 2007, en donne une description assez similaire.

Le syndrome de Peter Pan

Soulignons dans un premier temps que ce syndrome n’est pas reconnu par le corps médical, qu’il n’y a que très peu d’études scientifiques sur le sujet et qu’il n’apparaît pas dans les classifications des maladies mentales.

Toutefois, certains psychiatres se sont intéressés à ce complexe et ont rassemblé de nombreux points communs qui semblent toucher les hommes souffrant du SPP : leur complexe et leur refus d’entrer dans le monde des adultes paraissent trouver leur origine dans un vécu traumatisant durant leur enfance ou une impossibilité de vivre pleinement cette période.

Le psychologue Jean-Yves Flament explique quant à lui que le syndrome de Peter Pan est un cercle vicieux : le sentiment irrépressible de décalage avec le monde des adultes entraîne un isolement, un repli sur soi qui intensifient ce décalage. Le cercle vicieux nourrit le sentiment permanent d’angoisse, mais ne pousse pas pour autant le patient à reconnaître son trouble et le traiter.

La controverse autour de sa reconnaissance médicale
Le syndrome de Peter Pan n’est pas officiellement reconnu par les manuels de classification psychiatrique tels que le DSM-5 (Manuel diagnostique et statistique des troubles mentaux). Certains experts estiment qu’il s’agit plutôt d’un trait de personnalité ou d’un comportement associé à des difficultés émotionnelles, plutôt qu’un véritable trouble psychologique.

Qu’est-ce que le syndrome de Wendy ?

Le syndrome de Wendy pourrait se définir par une dépendance affective et une recherche constante de plaire tout en redoutant la blessure d’abandon et de rejet. Là encore, il est fait référence au personnage du dessin animé de Disney où Wendy a besoin (pour ne pas dire est dépendante) de Peter Pan et de la fée Clochette pour devenir mature et entrer dans le monde des adultes.

Paradoxalement, la femme atteinte du syndrome de Wendy est également une “sauveuse” qui aide à résoudre les problèmes de conflits intérieurs tels que ceux de Peter Pan. Les 2 personnages sont interdépendants (codépendance).

Les causes du complexe de Peter Pan

Les psychiatres qui se sont penchés sur le complexe de Peter Pan mettent en lumière une cause à ce trouble : ils décrivent notamment des responsabilités trop importantes à assumer dès le plus jeune âge, un père qui a des attentes démesurées, voire inaccessibles. De fait, cette figure parentale semble ne jamais pouvoir être fière de son fils et ce dernier reste sans cesse dans l’impression de ne rien faire de bien aux yeux de celui qu’il admire.

La théorie de l’évolution
Des psychologues ont suggéré que le syndrome de Peter Pan pourrait être une réaction adaptative dans le contexte de l’évolution humaine. Ils avancent l’idée que le maintien de comportements enfantins chez certains individus pourrait être une stratégie pour renforcer les liens sociaux et maintenir la cohésion au sein d’un groupe.

Les travaux de Dan Kiley sur les caractéristiques de la maladie

Dans son livre rédigé en 1983 et intitulé The Peter Pan Syndrome : Men Who Have Never Grown Up (“Le syndrome de Peter Pan : ces hommes qui ont refusé de grandir”), Dan Kiley nous livre sa version du SPP. Il insiste sur 4 traits de caractère prépondérants :

  • Ils sont narcissiques ;
  • Ils sont immatures, en particulier émotionnellement ;
  • Ils ne prennent pas leurs responsabilités dans la société ;
  • Ils sont dépendants.

Dan Kiley décrit également 4 stades d’évolution de ce trouble :

  • De 12 à 17 ans : les patients sont irresponsables, angoissés et se replient sur eux-mêmes ;
  • De 18 à 25 ans : ils sont narcissiques, font preuve de misandrie ou misogynie. Une inadaptation au monde extérieur, ou une insatisfaction par rapport à celui-ci est également observée ;
  • De 26 à 30 ans : survient le début de la phase chronique du syndrome. Les sujets cherchent à paraître en adulte mature ;
  • Après 45 ans : ils ont tendance à retrouver leur enfance, sont sujets à une dépression et des troubles du sommeil.

Comment reconnaître les symptômes du syndrome de Peter Pan ?

Les personnes atteintes du syndrome de Peter Pan sont particulièrement reconnaissables par leur insouciance, leurs difficultés à entretenir de bonnes relations sociales, leur recours aux pensées magiques ou leurs attitudes puériles entre autres. Ils éprouvent également de grosses difficultés à exprimer leurs émotions, à avoir une vie amoureuse et sexuelle épanouie. Ils sont ce que l’on pourrait appeler de « grands enfants”.

Signe n° 1 : Une insouciance exacerbée

Qui pourrait être plus désinvolte qu’un enfant ? De fait, les personnes atteintes du SPP sont d’une grande insouciance, car celle-ci est par définition le symbole de l’enfance. Elle fait notamment référence à une incapacité, un refus de prendre ses responsabilités d’adulte dans tous les domaines de la vie quotidienne. Difficile pour les hommes souffrant de ce complexe de prendre des décisions, de se fixer des objectifs ou de faire un quelconque choix. Tout cela est laissé à sa partenaire, s’il en a une.

Dans le cas contraire, il choisira la procrastination et remettra toujours au lendemain les décisions qu’il doit prendre et étant totalement insouciant des conséquences de ses “non actes”. Cette insouciance est également exacerbée par le manque de confiance en lui, ce qui l’empêche de croire qu’il est capable de prendre de bonnes décisions ou faire des choix adaptés.

Signe n° 2 : Des difficultés dans les relations sociales

Ce dépendant affectif souffre paradoxalement de soucis à maintenir des relations sociales adaptées. Inconsciemment, cet homme va rechercher des amitiés avec des enfants, dont il se sent plus proche que les adultes. Malheureusement, à plus ou moins long terme, ces amitiés sont compliquées. La peur de l’abandon est très présente chez ces individus qui craignent par-dessus tout d’être rejetés. L’éloignement de la mère est particulièrement mal vécu et peut engendrer un passage à l’acte autoagressif.

Les relations avec les adultes s’avèrent aussi très compliquées de par la nature même de ces hommes immatures, égocentriques, narcissiques, préoccupés de manière inadaptée par leur apparence physique et qui sont incapables d’exprimer leurs sentiments et leurs émotions. Ces difficultés relationnelles à se faire des amis engendrent possiblement du stress, de l’isolement, voire une forme de dépression ou de mélancolie.

Signe n° 3 : Le recours à la pensée magique

Le recours aux pensées magiques est le signe d’une grande immaturité puisqu’elles sont significatives de l’enfance. Lorsqu’elles sont encore en usage à l’âge adulte, elles sont le symptôme d’une grande puérilité ou de troubles psychologiques.

Ces rituels apportent un apaisement et permettent de ne pas devoir se remettre en cause ou de s’autocritiquer. Ce tour de magie donne alors l’illusion que le monde extérieur est capable de s’adapter aux besoins de la personne concernée et non que c’est à elle de s’adapter au monde.

Le saviez-vous ?
La pensée magique est principalement utilisée par l’enfant et sert à provoquer ou au contraire à éviter certains événements, sans aucune autre intervention que le fait de le souhaiter. Selon certains, elle aurait pour but d’échapper à la peur de l’inconnu en donnant l’impression de pouvoir contrôler notre condition.

Signe n° 4 : Des relations amoureuses compliquées

Là encore, ce sont les traits narcissiques et égocentriques qui sont à l’origine de la difficulté dans les relations amoureuses. En effet, l’homme atteint du complexe de Peter Pan pense en premier lieu à son plaisir et son bien-être personnel avant celui de sa partenaire.

De plus, il prend soin de façon exacerbée à son apparence physique et peut même souffrir de dysmorphophobie en ayant une image de lui-même qui n’est pas réelle. Son côté narcissique le pousse à faire son propre éloge, au risque de devoir dévaloriser la personne qui partage sa vie. Ses caprices puérils sont également un frein à une vie à deux satisfaisante.

Signe n° 5 : Des entraves à une sexualité épanouie

Comme un enfant, l’adulte atteint de SPP voit en la sexualité quelque chose de sale. Afin de dissimuler sa peur du rejet, l’homme adulte a recours à des comportements machos pour montrer sa supériorité et le fait qu’il soit sûr de lui alors qu’il n’en est rien.

Il existe généralement deux cas de figure pour ces hommes. Soit ils sont asexuels et vivent sans sexualité, soit a contrario, lorsqu’ils ont connu un premier rapport sexuel, ils souhaitent en avoir de nombreux afin de prouver qu’ils ne souffrent pas d’impuissance.

Quoi qu’il en soit, s’ils trouvent une partenaire, elle devra être dépendante affectivement de lui et il ne choisira pas une représentante de la gent féminine sûre d’elle.

Signe n° 6 : Une tendance à procrastiner

La procrastination est généralement l’apanage des adolescents, voire des enfants qui préfèrent remettre au lendemain ce qu’ils doivent faire. Cela leur permet de se consacrer à l’instant présent, à vivre dans l’insouciance. Les individus atteints du SPP veulent profiter de tout, tout de suite, et ne s’encombrent pas d’obligations qui les ennuient.

Signe n° 7 : Des difficultés à exprimer ses émotions

Cette difficulté, voire l’impossibilité d’exprimer ses émotions, est significative du SPP. Cet état de fait est dû en particulier à l’immaturité affective. Comme un enfant, seules les émotions extrêmes sont exprimées : colère/rage, satisfaction/explosion de joie, tristesse/rire nerveux.

Les sentiments de tristesse et de déception sont cachés sous un sourire figé et forcé afin de cacher leurs véritables émotions et pouvoir garder la face. Les expressions émotionnelles sont parfois parfaitement hors contexte et inadaptées.

Signe n° 8 : Une problématique parentale

Le père est souvent idolâtré et l’enfant, puis l’adulte, cherche en vain son approbation. Les attentes de la figure paternelle sont souvent en décalage avec la réalité. L’enfant pense donc ne jamais pouvoir lui apporter la satisfaction qu’il mérite.

En ce qui concerne sa mère, il est tiraillé entre son envie de se libérer de son influence et sa culpabilité lorsqu’il y parvient. L’enfant se montre capricieux et tente de faire pitié à sa mère afin d’obtenir ce qu’il veut. À l’âge adulte, ce comportement est moins présent et laisse plutôt place à la culpabilité d’être parti du foyer familial.

Signe n° 9 : Des attitudes puériles

Les attitudes puériles jalonnent le quotidien des personnes atteintes du complexe de Peter Pan :

  • Caprices ;
  • Expression inadaptée des émotions ;
  • Impossibilité de couper le cordon avec la mère ;
  • Vie sexuelle limitée, voire inexistante ou au contraire exacerbée ;
  • Tendance à la misogynie.
Des liens avec la pop culture
Le personnage de Peter Pan a eu une influence considérable sur la culture populaire. On retrouve des références au syndrome de Peter Pan dans de nombreuses œuvres cinématographiques, séries télévisées, et chansons. Le personnage de Michael Scott dans la série « The Office » est par exemple souvent considéré comme un exemple de personne atteinte du SPP.

Existe-t-il un test pour reconnaître cette peur de grandir ?

Il n’existe pas de test spécifique au complexe de Peter Pan. C’est en particulier l’observation clinique qui permet de poser le diagnostic. Si vous vous reconnaissez dans les symptômes qui viennent d’être évoqués, il est préférable de consulter un professionnel de santé afin de confirmer ou d’infirmer le diagnostic. Aux signes vus plus tôt, s’ajoutent d’autres symptômes souvent présents :

Comment soigner et sortir de ce complexe ?

La prise en charge du SPP est possible. Elle passe notamment par des thérapies psychodynamiques et analytiques, mais une psychanalyse, bien plus longue, est également possible. Et que penser de la thérapie jungienne ?

Cependant, avant de soigner le syndrome de Peter Pan, il est essentiel que la personne concernée prenne conscience de son comportement et ne soit pas dans le déni.

La psychanalyse pour aider à guérir

S’orienter vers la psychanalyse est une voie possible. C’est Sigmund Freud qui fonde cette thérapie en 1922. Il en donne cette définition : « Psychanalyse est le nom :

  1. D’un procédé pour l’investigation de processus mentaux à peu près inaccessibles autrement ;
  2. D’une méthode fondée sur cette investigation pour le traitement des désordres névrotiques ;
  3. D’une série de conceptions psychologiques acquises par ce moyen et qui s’accroissent ensemble pour former progressivement une nouvelle discipline scientifique”.

Si elle peut être efficiente, il faut savoir que la psychanalyse est un processus très long qui peut s’étendre sur plusieurs années. Elle est également très coûteuse et n’est donc pas adaptée à tous.

Les autres thérapies comme solutions à ce syndrome

La thérapie psychodynamique et analytique est particulièrement recommandée dans le cadre du complexe de Peter Pan. Pour certains, la thérapie jungienne peut également trouver sa place dans la prise en charge de ce trouble.

En effet, cette approche particulière est pertinente pour traiter les problèmes liés à l’enfance, explorer les complexes inconscients ou encore dialoguer avec l’enfant intérieur qui sommeille en nous.

La thérapie psychodynamique ou analytique

Outre la psychanalyse, l’autre solution possible est l’approche psychodynamique. Son objectif d’introspection permet d’acquérir des outils afin de résoudre des conflits inconscients. Elle part du postulat que les problèmes rencontrés à l’âge adulte trouvent leur source dans des conflits refoulés durant l’enfance.

Généralement peu directif, le psychothérapeute offre un espace d’expression et permet de verbaliser les préoccupations et les divers comportements qui entravent une vie épanouie. En ce qui concerne le syndrome de Wendy, la thérapie psychodynamique donne également des clés pour sortir de la dépendance affective.

Les 4 approches de la psychothérapie
Il existe 4 grandes approches reconnues en psychothérapie : l’approche cognitivo-comportementale (TCC), l’approche existentielle humaniste, l’approche psychodynamique/analytique et l’approche systémique. Selon les attentes, les besoins et les pathologies présentes, le médecin, le psychiatre ou le psychologue optera pour la thérapie la plus adaptée.

Quid de la thérapie jungienne ?

Assez peu connue et répandue, cette approche psychothérapeutique est pourtant efficace dans le traitement des dépressions, de l’anxiété, des conflits intrapsychiques ou des différentes addictions en permettant d’accéder à notre psyché. Elle donne en quelque sorte la possibilité de se réconcilier avec son inconscient et de retrouver un mieux-être.

Il n’existe pas de méthodes prédéterminées de cette pratique : c’est aux médecins thérapeutes de s’adapter aux besoins et aux attentes du patient. Elle est une approche holistique (qui couvre tous les domaines de soins possibles du patient dans sa globalité) qui reconnaît l’importance de l’esprit, du corps et de l’âme dans le processus de guérison.

Cette thérapie a été développée par Carl Gustav Jung, un célèbre psychiatre et psychanalyste suisse. Son approche thérapeutique s’inscrit dans le courant de la psychanalyse, mais elle se différencie par de nombreux aspects qui lui sont propres. Ses principes fondamentaux sont :

  1. L’inconscient collectif se composant d’idées et de symboles communs ;
  2. Les archétypes qui sont des symboles universels ;
  3. L’individuation pour trouver son Soi véritable ;
  4. L’importance et l’interprétation des rêves ;
  5. L’amplification qui permet d’approfondir la compréhension des symboles et des archétypes ;
  6. Le dialogue avec l’inconscient.

Soigner la dépression lorsqu’elle est présente

La dépression est une évolution possible du complexe de Peter Pan. Là encore, c’est Dan Kiley qui a fait ce constat. Les résultats de ses études montrent que cette peur de grandir n’est pas tant une maladie, mais un rapport singulier au monde entraînant une potentielle souffrance, responsable à son tour de troubles anxieux, dépressifs et phobiques.

Lorsqu’elle est installée, il est indispensable de la traiter. Cependant, il est essentiel de rappeler que guérir de la dépression n’apportera pas de solution au SPP lui-même. C’est pourquoi sortir de la dépression demande un traitement complémentaire qui doit s’ajouter à une psychothérapie afin de traiter le problème à sa racine et non uniquement le syndrome dépressif.

Ce qu’il faut retenir sur le syndrome de Peter Pan

Le syndrome de Peter Pan est un trouble psychologique qui se caractérise par un refus de grandir et de franchir le pas vers le monde des adultes. L’homme adulte reste en réalité un petit garçon éternel. Inspiré du célèbre héros de fiction, ce complexe affecte particulièrement les hommes, mais certaines femmes présentent un syndrome de Wendy, une sorte d’équivalent féminin. Bien que ce syndrome ne soit pas reconnu officiellement par le corps médical, il suscite l’intérêt de certains psychiatres.

Le complexe de Peter Pan est possiblement causé par des responsabilités trop lourdes imposées dès l’enfance, des attentes démesurées du père, et une difficulté à vivre pleinement cette période. Les personnes touchées recherchent souvent l’approbation de figures parentales, notamment celle du père, mais se sentent incapables de répondre à ses attentes. Avec une approche thérapeutique adaptée, il est possible de surmonter le syndrome de Peter Pan et d’évoluer vers une vie adulte épanouissante.

Un changement de vie est possible

Si vous vous reconnaissez dans cet article ou que vous reconnaissez le comportement de l’un de vos proches, sachez qu’il est possible d’agir pour se sortir des conflits internes et du mal-être qui entravent le quotidien.

Lorsque l’on éprouve la volonté de quitter des modes de fonctionnement inadaptés, il est possible d’évoluer et de les remplacer par des conditionnements émotionnels qui vous permettront de retrouver le bonheur et un mode de vie qui vous apportera satisfaction. N’hésitez pas à consulter un psychothérapeute (psychologue, psychiatre) qui vous offrira des solutions pertinentes et vous libérera de vos entraves afin de retrouver un bien-être intérieur.

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