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TDAH chez l’adulte : Mode de pensée, 3 types, Signes, Test

Lucie M

Vous assimilez forcément le TDAH à l’enfance ? Agitation, distraction, impulsivité… Des mots souvent utilisés pour décrire les plus jeunes. Mais qu’en est-il des adultes ? Le trouble du déficit de l’attention avec hyperactivité n’est pourtant pas réservé à l’enfance. Il persiste, discret mais puissant, au cœur de la vie de nombreux adultes.

Levons le voile sur ce trouble invisible mais impactant, qui demeure malgré tout incompris. Vous pourriez y être confronté, notamment parce qu’un proche ou un collègue y est peut-être exposé sans le dire.

Définition du TDAH : comprendre la signification du déficit de l’attention chez l’adulte

Le trouble déficitaire de l’attention avec ou sans hyperactivité est une affection neuro-développementale dont peuvent souffrir les enfants et les adultes.

Le DSM-5 (cinquième édition du Manuel diagnostique et statistique des troubles mentaux) le définit comme étant un schéma persistant d’inattention ou d’hyperactivité impulsivité qui interfère avec le fonctionnement quotidien. Chez l’adulte, le TDAH entraîne des troubles de l’attention dans divers domaines tels que le travail, les relations sociales et les activités quotidiennes.

Même si on pense parfois que ce trouble s’exprime le plus souvent durant l’enfance, il est fréquemment diagnostiqué plus tard. Il peut passer inaperçu jusqu’à l’adolescence, voire jusqu’à l’âge adulte.

Il peut également être diagnostiqué plus rarement chez des personnes âgées de plus de 60 ans. Les professionnels de santé qualifient donc cette affection de trouble persistant en raison de sa trajectoire de développement, qui englobe à la fois la présence continue du trouble et une diminution de sa gravité selon les périodes.

Bien que la cause exacte n’en soit pas encore totalement identifiée, la recherche suggère qu’elle pourrait être liée à des facteurs génétiques. Plusieurs facteurs environnementaux contribuent aussi au développement du TDAH : l’exposition à des substances nocives, des carences nutritionnelles, les événements survenant au cours de la grossesse et de l’accouchement, ou encore les carences affectives.

Quelle différence entre le TDAH de l’enfant et le TDAH adulte ?
Chez les enfants, les symptômes du TDAH sont souvent plus visibles et incluent une hyperactivité marquée. Chez les adultes, ils peuvent évoluer et devenir plus subtiles, d’où un diagnostic parfois plus délicat.

Quels sont les 3 types de trouble déficitaire de l’attention chez l’adulte ?

Il existe 3 types de TDA : inattentif, hyperactif-impulsif et combiné, chacun comportant des caractéristiques spécifiques.

Le type inattentif

Le trouble déficitaire de l’attention dit à prédominance inattentive, comme son nom l’indique, présente la majorité des symptômes dans la sphère attentionnelle. Les personnes atteintes de cette forme sont les plus représentées à l’âge adulte. Environ 30 % des personnes diagnostiquées avec un trouble déficitaire de l’attention présentent des symptômes de type inattentif. Selon une étude de 2014, ce type particulier de TDA se caractérise par des signes plus subtils, ce qui le rend plus difficile à identifier.

Elles ont souvent du mal à accomplir les tâches qui requièrent une attention et une concentration soutenues, en particulier lorsque la tâche n’est pas intéressante ou stimulante. Elles peuvent paraître rêveuses ou distraites, ce qui donne l’impression à leur entourage qu’elles n’écoutent pas ou qu’elles sont apathiques. Elles sont facilement distraites par leur environnement ou leurs propres pensées, ce qui rend difficile l’accomplissement efficace des tâches.

Ces personnes ont aussi du mal à rester engagées dans de longues conversations ou réunions, ce qui les amène à manquer parfois des détails importants. Rester concentré sur des tâches fastidieuses est aussi un vrai challenge pour les personnes à prédominance inattentive. Cette difficulté à maintenir l’attention crée des difficultés au travail ou à l’école, dont découle souvent une certaine frustration.

Autre symptôme courant chez les personnes de type inattentif : la perte fréquente d’objets. Elles ont du mal à ne pas perdre leurs affaires, égarent régulièrement des objets et passent beaucoup de temps à les chercher. Cet effet est frustrant et chronophage, il affecte leur routine quotidienne et cause un stress supplémentaire. En outre, la perte de documents importants ou d’objets personnels peut avoir de graves conséquences, telles que des pertes financières.

Le type hyperactif-impulsif

L’agitation, et notamment la difficulté à rester assis pendant de longues périodes, est sans doute le symptôme le plus caractéristique de l’hyperactivité de type impulsif. Les personnes concernées ressentent souvent le besoin constant de bouger ou de se mouvoir dans des situations inappropriées. Elles rencontrent également des difficultés à se concentrer sur des activités de loisirs. Elles ont aussi tendance à interrompre des conversations et avoir du mal à attendre leur tour.

L’impulsivité est une caractéristique du type hyperactif-impulsif. Les personnes concernées ont des difficultés à réguler leurs émotions et leurs réactions, ce qui les conduit parfois à prendre des décisions impulsives. À travers cette impulsivité, elles ont aussi une propension à adopter des comportements risqués sans en mesurer les conséquences, comme conduire de manière imprudente ou dépenser de l’argent de manière compulsive.

Le manque de motivation est aussi un problème pour les adultes atteints de ce type. Ils ont fréquemment du mal à commencer ou à terminer des tâches, surtout si elles ne sont pas immédiatement gratifiantes. Cette difficulté à se motiver est exacerbée par la fatigue, qui est également un symptôme courant du TDAH. Les personnes concernées se sentent constamment épuisées en raison de leur lutte constante pour gérer leurs symptômes.

Par ailleurs, les problèmes relationnels sont une autre conséquence du TDAH de type hyperactif-impulsif. L’impulsivité et l’agitation compliquent l’établissement et le maintien de relations saines. Les personnes atteintes interrompent les autres, agissent sans réfléchir aux conséquences ou ont du mal à rester concentrées lors des conversations, ce qui peut entraîner des malentendus et des conflits.

Une faible estime
La faible estime de soi est également courante chez les adultes atteints de TDAH. Ils sont parfois frustrés par leurs difficultés à gérer leurs symptômes et ont tendance à se blâmer pour leurs symptômes perçus comme des échecs. Recevant parfois des commentaires négatifs de la part d’autres personnes qui ne comprennent pas leur trouble, cet engrenage subtil renforce leurs faibles estimes de soi.

Le type combiné

Le type combiné est une forme de TDAH qui est une combinaison des deux profils précédents. Les patients présentent à la fois des symptômes d’inattention et d’hyperactivité/impulsivité.

À propos de cette forme, pour qu’un diagnostic soit posé, de nombreux symptômes doivent être présents des deux côtés du spectre. Concernant l’inattention, des difficultés à être attentifs, des oublis et des difficultés à mener à bien les tâches qui sont confiées sont observées. Concernant l’hyperactivité / l’impulsivité, se montrer agité, remuer, interrompre les autres et prendre des décisions impulsives sont des symptômes très souvent constatés.

Le type combiné représente un défi pour les personnes concernées, qui sont confrontées à toutes les difficultés associées aux deux types de profils. De plus, elles ont du mal à accomplir des tâches, à organiser leur temps et à entretenir des relations interpersonnelles épanouissantes en raison de leurs symptômes.

Quelques chiffres sur la prévalence du TDAH
Le TDAH est le trouble psychologique le plus répandu, affectant environ 2,5 % des adultes. Ce trouble tend à persister à l’âge adulte dans environ deux tiers des cas, avec des pourcentages variables selon les études et la qualité de la prise en charge, allant de 33 % à 85 %.

Signes et symptômes chez l’adulte : comment savoir si on est atteint de TDAH ?

Bien que les symptômes du TDAH soient présents chez les enfants et les adultes, l’âge moyen de diagnostic est de 9 à 10 ans. La compréhension des signes est cruciale pour recevoir un diagnostic et un traitement appropriés.

Chez les enfants, les symptômes apparaissent souvent avant l’âge de 12 ans et se manifestent dans différents contextes, comme à la maison, à l’école et dans la vie sociale.

Chez les adultes, les symptômes ne sont parfois pas aussi visibles que chez les enfants (ou du moins évocateurs avec évidence d’un TDAH). Ils éprouvent fréquemment des difficultés à gérer leur temps, à s’organiser et à hiérarchiser les tâches. Ils ont également du mal à rester concentrés pendant les conversations, et ont tendance à oublier et à remettre à plus tard. Ils ont aussi une propension à présenter des comportements impulsifs. En outre, ils présentent, tout comme les enfants, des difficultés relationnelles en se révélant parfois socialement inappropriés, ce qui peut engendrer un manque affectif.

Rappelons-le : ces manifestations varient d’une personne à l’autre et sont également influencées par d’autres facteurs (événements stressants, abus de substances, relations interpersonnelles…).

Quelle différence entre l’impulsivité et le TDAH ?
L’impulsivité est un comportement qui se caractérise par des actions rapides et non réfléchies, alors que le TDAH est un trouble neuro-développemental diagnostiqué qui se caractérise par des niveaux élevés et inappropriés d’inattention, d’hyperactivité et d’impulsivité.

Diagnostic et tests chez l’adulte : comment savoir si on a un TDAH ?

La procédure de diagnostic du TDAH s’inscrit dans une démarche clinique dont le médecin traitant est souvent la première étape à franchir.

Le rôle des professionnels de santé

Lors d’une recherche de diagnostic, le médecin traitant occupe une place centrale. Sa proximité avec vous et ses connaissances en font l’interlocuteur idéal pour établir un premier diagnostic, surtout à la lumière des difficultés que vous lui exprimez.

Sur la base des trois symptômes principaux (le déficit d’attention, l’hyperactivité et l’impulsivité) ou d’autres difficultés annexes comme les problèmes de sommeil ou les problèmes d’interactions sociales, le médecin évoquera éventuellement un TDAH.

Diagnostiquer un TDA avec sous hyperactivité

L’objectif premier est de différencier le TDA (avec ou sans hyperactivité) d’autres pathologies présentant des symptômes similaires, surtout si la personne concernée présente des crises d’angoisse (parfois sans raison apparente), un trouble anxieux ou un trouble dépressif sous-jacents. Pour ce faire, les professionnels de santé (psychologue, psychiatre) utilisent les méthodes suivantes :

  • Une analyse approfondie de la présence des symptômes sur une longue période, y compris dans un contexte de performance professionnelle ou à travers l’évaluation de l’environnement familial. Cette analyse comportera plusieurs séances d’entretiens avec un spécialiste du TDAH.
  • Un examen clinique complet.
  • Des tests psychologiques supplémentaires et une évaluation par un neuropsychologue si nécessaire.
Burn-out, TAG… ou TDAH ?
Il peut arriver que certains adultes consultant pour traiter un burn-out ou une anxiété généralisée se découvrent finalement des symptômes évocateurs d’un TDAH, d’où l’importance de solliciter un professionnel de santé pour évaluer votre santé.

Adulte et trouble de l’attention : comment se sent une personne présentant un syndrome TDAH ?

Les adultes atteints de TDAH éprouvent la plupart du temps des difficultés à entretenir des relations en raison de leurs sautes d’humeur, de leur stress chronique, de leur impulsivité ou de leur irritabilité.

Les adultes atteints de TDAH ont des difficultés à gérer leurs activités quotidiennes et à ordonner leur environnement, ce qui entraîne un manque d’assiduité et des retards fréquents. Ce manque d’organisation est d’ailleurs très problématique à l’âge adulte, lorsque les exigences et les responsabilités augmentent dans tous les aspects de la vie (surtout au travail et dans la cellule familiale). Ce manque cause potentiellement des conflits au travail et dans les relations interpersonnelles.

La distractibilité impacte aussi la pensée du TDAH. Les adultes atteints, présentant une forme d’hypersensibilité émotionnelle, sont susceptibles d’être facilement déroutés par les stimuli internes et externes. Alors que la plupart des personnes filtrent ces stimuli pour se concentrer sur les tâches à accomplir, ce filtre est la plupart du temps défaillant chez les personnes concernées. Chaque bruit, chaque mouvement est traité de manière équivalente, empêchant une concentration adéquate sur une tâche particulière, d’où une difficulté à se concentrer.

L’impulsivité est aussi assez marquée. Les personnes concernées se sentent constamment agitées à l’intérieur, mais elles sont généralement contraintes de contrôler leur impulsivité en raison des normes sociales. Dès lors, leur inconfort se manifeste de manière plus subtile, par exemple, en interrompant les autres, en parlant à des moments inappropriés ou en disant des choses sans y penser au préalable.

Ces caractéristiques créent des difficultés importantes dans divers domaines de la vie, comme les relations interpersonnelles, le travail et la gestion des finances, ce qui provoque parfois un fort sentiment d’échec et une faible estime de soi. Les adultes TDAH sont aussi plus susceptibles de souffrir d’autres problèmes de santé mentale, tels que l’anxiété et la dépression. Il n’est cependant pas clairement établi si ces problèmes sont directement liés au TDAH ou s’ils en sont une conséquence.

L’adulte TDAH et les relations amoureuses
Le TDAH complique les relations amoureuses du fait de la distractibilité et l’impulsivité qui créent des malentendus et des frustrations. La faible confiance en soi, l’hypersensibilité souvent présente et les défis émotionnels associés à ce trouble sont aussi des obstacles potentiels aux échanges et à l’intimité dans les relations amoureuses, d’où l’importance d’avoir une communication de qualité si vous êtes en couple avec une personne TDAH.

Nos conseils pratiques pour gérer les symptômes si vous êtes TDAH

Pour vous approprier votre TDAH, il est tout d’abord indispensable de vous éduquer à son propos. Comprenez vos symptômes, leurs impacts potentiels sur votre vie et les différentes options de traitement disponibles. Il existe de nombreuses ressources en ligne, des livres et des professionnels de la santé mentale qui vous fourniront des informations précieuses. Plus vous connaîtrez les mécanismes de ce trouble, mieux vous pourrez élaborer des stratégies pour gérer les symptômes.

L’un des conseils les plus répandus est par ailleurs de structurer votre temps de repos. Prévoyez des moments de pauses au travail ou durant d’autres activités pour vous ressourcer et vous recentrer. Optez aussi pour des habitudes positives pendant ces pauses, telles que faire une promenade ou pratiquer la pleine conscience, pour vous aider à tempérer vos émotions.

Planifiez aussi de courtes périodes de travail et divisez vos tâches en petites sous-tâches plus rapides. Les grands projets paraissent d’ailleurs souvent harassants, mais les diviser en petites tâches les rend plus faciles à envisager et moins intimidants. À terme, cette approche aura un effet positif sur votre concentration et votre motivation.

Concentrez-vous sur vos forces et si possible, optez pour un choix de carrière à propos duquel vous vous sentez naturellement doué. Les personnes TDAH ont souvent des domaines particuliers dans lesquels elles excellent. Travailler dans un domaine qui correspond à vos points forts vous aidera à vous sentir plus accompli et en paix avec vous-même. L’utilisation de vos points forts, en compensant vos zones de faiblesse, sera aussi très valorisante.

Enfin, arrêtez de vous sentir coupable. Souvenez-vous que le TDAH est un trouble neurologique et non le résultat d’un manque de volonté ou de discipline. Les symptômes que vous rencontrez ne sont pas de votre faute et ne reflètent pas vos qualités humaines. En saisissant cela, vous adopterez une perspective bienveillante et sans jugement envers vous-même.

Comment interagir avec une personne TDAH ?

Interagir avec une personne atteinte de TDAH requiert une communication claire et précise. Parce qu’elle a naturellement une tendance à l’impulsivité et à la distraction, pensez toujours à apporter des instructions simples et directes et à vous assurer que votre message soit bien compris.

Faire preuve de tact est par ailleurs essentiel : évitez de critiquer ou de blâmer la personne concernée, ce qui pourrait potentiellement aggraver l’instabilité de son humeur et son autodépréciation souvent présentes. Cultivez plutôt une attitude positive à travers des commentaires constructifs et encourageants. Comprendre et respecter le rythme d’une personne ayant ce trouble, y compris les moments où elle se sent plus énergique ou dispersée, est aussi également indispensable pour construire avec elle une relation basée sur la communication.

Malgré les défis que ce type de relation peut présenter, rappelons-le : une personne TDAH a aussi souvent beaucoup d’énergie et de créativité à offrir. Leur impulsivité et leur imprévisibilité est parfois vécue comme une source de frustration, mais elles apportent beaucoup de spontanéité et d’entrain.

Si vous vous trouvez face à un conflit ou à une difficulté, concentrez-vous sur la recherche de solutions plutôt que sur le malentendu lui-même. Encouragez-la à utiliser des outils et des stratégies pour gérer ses symptômes, comme les rappels pour l’aider à rester concentrée ou les pauses pour gérer son énergie. En étant compréhensif et flexible, vous construirez des interactions positives avec elle.

Interagir avec un collègue TDAH
Pour interagir efficacement avec un collègue TDAH, faites preuve d’empathie et de patience, tout en tenant compte de ses difficultés en matière de concentration et d’organisation. Favorisez une communication claire et directe tout en lui offrant votre soutien.

Comment calmer un adulte hyperactif ?

Pour apaiser un adulte hyperactif (conjoint, proche, ami…), aidez-le à établir une routine quotidienne régulière incluant des horaires de sommeil cohérent. Il est à ce propos recommandé d’éviter les écrans (télévision, ordinateur, smartphone) avant le coucher, ceux-ci stimulant le cerveau et retardant le sommeil. Encouragez-le aussi à participer à des activités apaisantes, comme lire un livre ou se promener.

Par ailleurs, l’initier aux techniques de relaxation sera extrêmement utile. Cette initiation peut inclure des pratiques telles que la méditation, le yoga, la respiration profonde ou la pleine conscience, réputés pour leurs effets sur la réduction du stress et de l’agitation.

Enfin, et là est le plus important : invitez toujours la personne concernée à solliciter un suivi thérapeutique avec un professionnel de santé spécialiste du TDAH si elle n’est pas déjà accompagnée médicalement.

Le TDAH, un trouble répandu

Le trouble déficitaire de l’attention avec ou sans hyperactivité est une affection neuro-développementale présentant des symptômes d’inattention, d’hyperactivité et d’impulsivité, affectant à la fois les enfants et les adultes. Les trois types de TDAH sont l’inattention, l’hyperactivité-impulsivité et une combinaison des deux. Les personnes souffrant de TDAH ont souvent du mal à se concentrer, sont distraites, ont une tendance à être impulsives et ont du mal à rester calmes.

Le TDAH est le trouble psychologique le plus répandu chez les adultes, affectant environ 2,5 % de la population, et persiste souvent de l’enfance à l’âge adulte. Les symptômes du TDAH varient en fonction de l’âge, du sexe, du contexte et d’autres facteurs. Ces symptômes ont des effets significatifs sur la vie quotidienne, y compris sur le travail, les relations sociales et les tâches quotidiennes.

Un diagnostic approprié est essentiel pour distinguer le TDAH d’autres troubles qui présentent des symptômes similaires et permet d’identifier la meilleure stratégie de traitement et d’accompagnement thérapeutique. Pour gérer les symptômes du TDAH, l’éducation sur ce trouble, la structuration du temps, la division des tâches en petites sous-tâches, la concentration sur les forces personnelles et la neutralisation du sentiment de culpabilité sont quelques-unes des stratégies recommandées.

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